1977 : treizième centenaire de la mort de saint Vincent et fusion des communes
Notre époque n'est plus appropriée à de grandes célébrations lors de la fête patronale. Celle-ci se situe "malheureusement" en juillet.

Le lundi de Pentecôte fut donc le jour choisi en 1977 pour les solennités du treizième centenaire de la mort de saint Vincent. De nombreuses châsses, bien plus encore qu'en 1962, se sont rassemblées à Soignies où, dès le dimanche, elles firent l'objet d'un accueil officiel suivi d'une "messe de la reconnaissance". Elles participèrent évidemment à la procession du lundi 30 mai. Saint Marcel 1er (Hautmont), la châsse des Damoiseaux, saint Feuillien (Fosses-la-Ville et Le Roeulx), saint Ghislain, sainte Gertrude (Nivelles), sainte Begge (Andenne), sainte Aldegonde (Maubeuge), les saints Walbert et Bertille (Cousolre), furent au rendez-vous.

Les fusions de communes venaient de s'opérer. D'année en année, les paroisses rurales de la nouvelle entité de Soignies se sont intégrées à la procession des reliques.

  
Ligne du temps
Les premiers essais de figuration historique
La rentrée solennelle du Tour
Les premiers groupes historiques
En 1899 et les années suivantes
L'actuelle procession historique, axée sur la vie de saint Vincent
Restituer l'exemple de la vie de saint Vincent
L'éclosion d'une "procession historique"
Le mélodrame religieux "Vincentius" et son apport à la procession historique
En déplacement
Un nouveau curé-doyen
La procession historique continue à s'étoffer
Les souverains ayant rendu hommage à saint Vincent
L'après-guerre
Le haut de gamme
Un film
Une année mémorable
Un carillon mobile
1977 : treizième centenaire de la mort de saint Vincent et fusion de communes
Une longue fidélité
De fréquentes participations à d'autres processions
L'accueil de la "Sint-Landricus Schuttersgilde"
Aujourd'hui... et demain
   
   
Un carillon mobile
Une longue fidélité
  
 
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